En écoutant "Fly" ou "Walking in the air" de Nightwish

Bruit de murmure étincelant
S'élève le firmament
Papillon doré au coeur d'un amour douloureux
Chantons la stupeur de mon coeur poussiéreux
A combien de silences es-tu, ô mon amour ?
A combien de miracles es-tu, toi sans qui il n'est point de jours ?
J'ai le rythme dans la voix
J'ai le rythme, mais c'est un rythme morbide
Je marche dans le ciel, je marche dans le vide
Le néant m'attire irrésistiblement
Dieu du ciel, qui suis-je pour me faire tant de mal ?

La voix se tait, laissant la musique faire son oeuvre
Le regard d'un butterfly
Le cri d'un long silence
Marbre qui soupire, diamant qui s'essouffle
En vouloir toujours trop

Retour de la voix, plus puissante que jamais
Elle pleure, cela s'entend
Elle pleure, mais elle chante à plein poumons
Elle chante pour vaincre sa peur
Elle tient
Elle tient
Puis laisse les instruments seuls
Pauvre conclusion...

Heathcliff l'avait bien dit.